Histoire d'apprendre

Les pratiques de l’agriculture intensive ont de graves conséquences pour l'environnement la biodiversité et la santé. L'une des plus graves est la menace sur de nombreuses populations d'insectes, et en premier lieu les insectes pollinisateurs, qui sont indispensables à 80% des plantes sauvages, et pour un tiers des cultures. De plus les insectes représentent 60% de l'alimentation des oiseaux En effet une études   publiées mercredi 18 octobre 2017 dans la revue américaine scientifique  Plos On à détectée une baisse de 76% des populations d'insectes volants en Allemagne depuis 1989 (étude réalisé dans 63 réserves naturelles) Si d'autres études avaient déjà observées une diminution des populations d'insectes jamais une baisse aussi importante n'avait été établi. Une telle diminution pourrait être annonciatrice d'une disparition totale de certaines espèces. La disparition des insectes auraient de graves conséquences, en effet les insectes...

Pourquoi le capital devrait il capter une part des richesses produites ? Cela est souvent justifié par l'investissement, les actionnaires, les grand-e-s investisseur-se-s ect apporteraient le capital, l’investissement nécessaire au fonctionnement de l'économie, au fonctionnement des entreprises. Mais d’où vient l'argent qu'yels investissent ? Il n'est pas apparue par magie, mais a été produit par du travail humain, et capté par la bourgeoisie. C'est donc l'argent que le prolétariat à produit que la grande bourgeoisie utilise pour investir. Mais en quoi le passage de ces richesses entre les mains des possédant-e-s serait une nécessite, ne pourrait on pas directement réinvestir une par des richesse produite ? Cela non seulement nous débarrasserait de la captation d'une partie du fruit de notre travail par le capital, qui en garde une part de plus en plus importante, et de plus permettrais de choisir les investissements en fonction du bien commun et...

Un salarié de l'hypermarché Leclerc à Trélissac a été licencié fin 2016, accusé d'avoir volé et mangé une banane dans la réserve du magasin. Il a contesté son licenciement devant les prud'hommes. « Je me suis retrouvé au chômage du jour au lendemain en fin d’année. Je faisais très bien mon travail, je n’avais eu aucun reproche de la part de mon chef et aucune sanction. Je ne comprends pas du tout »  explique l’ex-employé, qui a depuis saisi les prud’hommes. L’affaire était jugée à Périgueux ce lundi. L’avocat de Rafaël B. déclare :  « On ne sanctionne pas par un licenciement pour faute grave quelqu’un qui mange un bien lui appartenant. Mon client avait en plus la nécessité de manger cette banane pour éviter l’hypoglycémie. » Lorsqu'un salarié-e-s au bord de l'hypoglécémie mange une banane, qui aurait probablement finit jeté vus le taux de gaspillage alimentaire dans la grande distribution, il est licencié pour faute grave, mais pour les mi...