Un salarié de l'hypermarché Leclerc à Trélissac a été licencié fin 2016, accusé d'avoir volé et mangé une banane dans la réserve du magasin. Il a contesté son licenciement devant les prud'hommes.
Lorsqu'un salarié-e-s au bord de l'hypoglécémie mange une banane, qui aurait probablement finit jeté vus le taux de gaspillage alimentaire dans la grande distribution, il est licencié pour faute grave, mais pour les milliards détournés par l'évasion fiscale personne n'est condamné-e-s.
Nous somme devant une véritable justice de classe, où le prolétariat ne doit pas faire le moindre écart face à la bourgeoisie, mais où il ne faut surtout pas condamner l'élite.
« Je me suis retrouvé au chômage du jour au lendemain en fin d’année. Je faisais très bien mon travail, je n’avais eu aucun reproche de la part de mon chef et aucune sanction. Je ne comprends pas du tout » explique l’ex-employé, qui a depuis saisi les prud’hommes. L’affaire était jugée à Périgueux ce lundi.
L’avocat de Rafaël B. déclare : « On ne sanctionne pas par un licenciement pour faute grave quelqu’un qui mange un bien lui appartenant. Mon client avait en plus la nécessité de manger cette banane pour éviter l’hypoglycémie. »
Lorsqu'un salarié-e-s au bord de l'hypoglécémie mange une banane, qui aurait probablement finit jeté vus le taux de gaspillage alimentaire dans la grande distribution, il est licencié pour faute grave, mais pour les milliards détournés par l'évasion fiscale personne n'est condamné-e-s.
Nous somme devant une véritable justice de classe, où le prolétariat ne doit pas faire le moindre écart face à la bourgeoisie, mais où il ne faut surtout pas condamner l'élite.
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