La médecine générale est très largement assumée par le secteur libéral. Les structures publiques du type Centres de santé sont très rare, mais parviennent à être efficace malgré un manque de moyens .
Au cœur de la prise en charge de la personne dans sa globalité,et non du malade, le médecin généraliste doit voir sa position franchement revalorisée. Plutôt qu’une politique fondée sur la sanction financière, il faut que la puissance publique développe des campagnes en faveur de la consultation chez le médecin généraliste. D’ailleurs, l’idée reçue selon laquelle il y aurait nomadisme médical n’est pas confirmée par les études réalisées. En tout état de cause, la médecine générale doit être vraiment considérée comme une spécialité. Elle doit être revalorisée dans sa formation initiale et continue. La filière universitaire de médecine générale doit être mise en place.
Nous voulons l’alignement des honoraires des médecins généralistes sur celui des autres spécialités et le développement de nouvelles formes de rémunération honorant le temps consacré par les médecins à ’élaboration des dossiers, au suivi des patients, à la prévention et à l’éducation à la santé. Ces nouvelles formes de rémunération existent dans la plupart des pays développés. Nous considérons qu’il faut à terme sortir du paiement à l’acte dans le cadre d’un processus à construire avec les intéressés.
Au cœur de la prise en charge de la personne dans sa globalité,et non du malade, le médecin généraliste doit voir sa position franchement revalorisée. Plutôt qu’une politique fondée sur la sanction financière, il faut que la puissance publique développe des campagnes en faveur de la consultation chez le médecin généraliste. D’ailleurs, l’idée reçue selon laquelle il y aurait nomadisme médical n’est pas confirmée par les études réalisées. En tout état de cause, la médecine générale doit être vraiment considérée comme une spécialité. Elle doit être revalorisée dans sa formation initiale et continue. La filière universitaire de médecine générale doit être mise en place.
Nous voulons l’alignement des honoraires des médecins généralistes sur celui des autres spécialités et le développement de nouvelles formes de rémunération honorant le temps consacré par les médecins à ’élaboration des dossiers, au suivi des patients, à la prévention et à l’éducation à la santé. Ces nouvelles formes de rémunération existent dans la plupart des pays développés. Nous considérons qu’il faut à terme sortir du paiement à l’acte dans le cadre d’un processus à construire avec les intéressés.
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